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phantasmagoria
16/05/2006 19:35
l'afiche de Phantasmagoria en exclusivité !!!
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marilyn manson
16/05/2006 19:32
belle foto de manson ( je l'ai prise du blog: heart_in_tears ) tres bon blog !!
Commentaire de nann la fée clocharde (19/05/2006 17:46) :
il est vrémen magnif ya po a chier!!!!
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Commentaire de Rock Girl (17/03/2007 14:51) :
ohh look who is here :p that is a good pic ;)
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YO tt l monde
16/05/2006 16:29
Yo tt l monde , je vous est préparer un pti quelque chose... g fé une ptite recherche et je vous proppose des définition de quelques genre de metal et c gratoss ; hav fun !!!
n'oublier pas de lacher vos coms !!!
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le power / speed metal
16/05/2006 16:24
Le power metal, ou speed mélodique, ou encore true metal, est un genre musical, dérivé du heavy metal, développé dans les années 1980 en Europe.
Certains font une distinction entre:
- Le speed mélodique qui mettrait plus l'accent sur des solos de guitare rapides et virtuoses ; - Le power metal qui mettrait plus l'accent sur les synthétiseurs.
Comme plusieurs classifications artistiques, la classification ne fait pas l'unanimité.
Histoire:
Le power metal fut la forme de metal la plus populaire qui put survivre sans trop d'encombres après le déclin du metal des années 1990 cependant ses origines restent controversées :
- Le terme « power metal » a été utilisé pour des groupes de « Warriors », c'est-à-dire des groupes ayant un son puissant et une imagerie guerrière, notamment Manowar (premier album Battle hymns en 1982) et Running Wild (premier album Gates to Purgatory en 1984).
- Le terme « speed mélodique » a été lui utilisé pour Helloween (premier album Walls Of Jericho en 1985). À l'époque, cela semblait plus une émanation du thrash metal, que l'on appelait aussi speed metal, avec un accent mis sur la mélodie (ceci est notamment flagrant pour les premiers albums d'Helloween avec Kai Hansen au chant).
Actuellement, la tendance est plutôt à regrouper les deux branches, qui présentent de grandes similitudes.
On peut remarquer qu'au fil du temps le genre reste très discret et "underground" malgré sa popularité : des salles combles de 1500 personnes en Amérique du Nord, des arénas pleins à craquer en Europe et généralement, les groupes de power metal sont en tête d'affiche des plus gros festivals "Open Air" , notamment le désormais légendaire Wacken Open Air dans le comté de Schleswig-Holstein, en Allemagne (plus de 45 000 métalleux qui se réunissent sur trois jours de festivités).
Caractéristiques:
Outre les instruments classiques du heavy metal (basse, guitare, batterie et chant), certains groupes ajoutent claviers, violons, flûtes et autres instruments atypiques du métal (dans ce cas, le groupe est catégorisé comme un groupe symphonique et par conséquent on rajoute ce mot en tant que suffixe à sa nomination, par exemple : power metal symphonique). Le batteur utilise une double grosse caisse, créant un « tapis » de battement (roulement de grosses caisses, en doubles croches) rapide et constant ; le micro pour la prise de son est placé proche de la peau, donnant un son plus proche du claquement que de la timbale. La plupart des groupes ont deux guitaristes, bien que plusieurs groupes européens se contentent d'un guitariste ; lors des solos, un des guitaristes assure la rythmique. Les compositions sont en général moins complexes que dans le métal progressif, mais les groupes s'appuient souvent sur la rapidité des guitaristes et de fréquents break.
L'ajout d'instrument qui s'éloignent du rock vient souvent d'un travail de mélange de musique à la guitare electrique, plus ou moins rythmée, avec des musiques d'inspiration anciennes (classique, celtique, médiévale...) ou plus inhabituelles (new age, synthetiseur,...). Certains morceaux de groupes de metal sont des reprises de compositions classiques, mais il y a parfois des création nouvelles qui sont tellement inspirées de ces styles qu'elles pourraient passer à tort pour des reprises de morceaux classiques ou de chants renaissance, du moins dans les mélodies.
Les grandes tendances du genre
On peut distinguer deux grandes tendances:
- Les speed mélodique : ses plus importants représentants sont européens, notamment groupes de metal finlandais : Sonata Arctica, Nightwish et Stratovarius pour ne citer qu' eux ; ces groupes font appel couramment à des claviers, voire même parfois à des orchestres symphoniques ; - Le power metal, plus agressif et direct, très proche du thrash metal ; cela regroupe essentiellement des groupes américains comme Iced Earth, mais également européens comme les allemands Blind Guardian (à ses débuts) et Running Wild ; les groupes n'utilisent en général pas de clavier, bien que certains s'orientent vers un style plus épique, ce qui implique l'usage d'orchestres complets, mais sans jamais ajouter de claviers.
A travers le monde:
Du fait de la double origine du genre, les influences et donc les styles sont différents selon les pays :
- Aux États-Unis, le power metal prend une forme directe. Il est naturellement caractérisé par la rapidité et la technicité du power metal, mais garde quand même racine chez les grands du Thrash.
- Au Canada, étrangement, les groupes de speed mélodique qui émergent auront plus tendance à suivre les voisins européens qui eux prennent toutes leurs racines dans le "speed metal" de Helloween.
- Les Allemands resteront eux plus près de leurs groupes cultes et des groupes Américains, le power metal Allemand étant GÉNÉRALEMENT plus thrash que speed (N.D.L.R. : L'ironie étant que deux des groupes de power metal les plus populaires d'Allemagne n'ont strictement rien a voir avec le Thrash.... je parle bien sûr d'Edguy et d'Helloween....).
- En Finlande par contre, le speed mélodique jouit d'une popularité sans précédents. Tous les groupes de speed metal finlandais voient leurs albums en tête des palmarès. Des hits par dessus hits, des mentions or et platine... Le speed mélodique est à la Finlande ce que le hip-hop est aux États-Unis : ce n'est ni plus ni moins que de la musique populaire. Le groupe allemand Edguy alla même jouer son hit King Of Fools à la fameuse émission Top of the Pops !
Bref, le speed mélodique est le plus commercialisé des styles de metal, malgré sa vitesse excessive, les guitares flamboyantes, les chants opératiques et l'attitude de rockstar démesurée.
Les différents thèmes:
De nombreux thèmes sont abordés dans le power metal mais on peut en distinguer deux principaux, chacun spécifique selon la branches dont ils descendent :
- Il y a d'abord les groupes de power metal épique qui prennent sources dans la "gloire" et la "force" des "frères d'armes", les héros qui tuent les dragons et libèrent la princesse... ce n'est pas là une description qui veut tourner ce genre à la dérision malgré son côté un peu "cliché". Cette branche du power metal parle de fantasy, de dragons et de chevaliers. Toute cette gloire et cette ambition de sauver le monde sont parties de Manowar. Il n'est pas rare que la "Gloire des Frères du Métal, unis par l'acier en fusion qui coulent dans nos veines" soit en sujet. Des hymnes imposants et fortement "symphonisés" sont utilisés.
- La deuxième branche se veut littéralement un descendant du style speed de Helloween. Au lieu de parler de gloire, d'user de méga-symphonies à l'excès et de parler des œuvres de H.P. Lovecraft et de J.R.R. Tolkien, on parle de choses de la vie, d'amour, de guerres internes, de sentiments. Bref de choses passables à la radio finlandaise. On opte pour des pièces plus courtes (dans les 4-5 minutes) au lieu de faire des mouvements de 10 minutes avec un final qui fait verser des larmes. Le power metal mélodique est direct, concret, formés selon des concepts de commercialisation. Solistes et vocaux sont à l'honneur, des refrains faciles à retenir pour les fans et des sujets qui touchent tout le monde et pas seulement les amateurs de romans fantaisistes et de jeux de rôles.
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le grind core
16/05/2006 16:20
Le grindcore est un sous-genre musical appartenant au genre Metal apparu au début des années 1980, avec des groupes tels que Napalm Death, Brutal Truth, Carcass ou Terrorizer puis poursuivi par des groupes tels que Gronibard, Inhumate, Ultra Vomit ou Purulent Excretor en France et Anal Blast, Anal Cunt, Circle Of Dead Children, Discordance Axis, Pig Destroyer et Agoraphobic Nosebleed dans le reste du monde. Le grindcore a des origines assez floues : certains considèrent que le grindcore est issu du Punk et du Hardcore, alors que d'autres pensent plutôt qu'il est issu directement du thrash Metal tout en étant très influencé par le Brutal Death Metal, surtout pour le sous-sous genre Goregrind qui allie un chant très guttural typé Death Metal, alors que le grindcore "classique" est chanté dans la majoritée des cas avec une voix criarde typée Hardcore. Le grindcore suit actuellement une crise au niveau de son appellation, en effet trop de gens confondent Brutal Death Metal (évolution pure du Death Metal, avec des groupes tels que Cannibal Corpse ou Benighted) et grindcore (évolution du Hardcore et du Thrash Metal influencé par le Death Metal).
Le grindcore est une musique extrêmement directe, rapide et brutale, c'est une musique sans concession où les vocaux gutturaux ou criés côtoient les blast beats de batterie et les riffs relativement simples et ultra violents. Les chansons de grindcore ont la caractéristique d'être extrêmement courtes (très souvent plus courtes qu'une minute, voire 3-4 secondes pour les groupes les plus extrêmes: Agoraphobic Nosebleed ayant réussi l'"exploit" d'intégrer 100 titres dans leur album Altered States Of America tout en ne dépassant pas les 21 minutes pour l'ensemble de l'album, ce qui fait une moyenne de 12.6 secondes par morceau...). L'engagement politique est aussi radical que la musique, mais rares sont les groupes étant sérieux quand aux idées politiques exprimées. Les thèmes abordés sont divers, mais la plupart du temps extrêmistes et ironiques, orientés vers le sexe, le gore ou le second degré polémique à scandales (Anal Cunt, Agoraphobic Nosebleed).
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le hardcore metal
16/05/2006 16:19
Le hardcore est un mouvement musical et artistique né du mouvement punk à la (fin des années 1970) et existant encore pleinement de nos jours. Les instruments de musique et les structures musicales utilisées sont les mêmes que pour la musique punk.
Vers la fin des années 1970, des groupes de jeunes radicalisent la musique punk en accélérant les tempos, en raccourcissant les morceaux et en introduisant des paroles plus critiques. Le hardcore émerge probablement en premier lieu à Washington D.C, notamment sous l'impulsion du groupe Bad Brains, jeunes rastafariens noirs mélangeant punk et métal (son plus dur et solos heavy), styles auxquels ils mélangeront le reggae un peu plus tard. Suivront une ribambelle de groupes comme Government Issue, Teen Idles, Minor Threat (les initiateurs originels du mouvement straight-edge), Marginal Man, Artificial Peace, State of Alert, Void, Youth Brigade... Les Teen Idles, groupe dont Ian Mckay, futur chanteur de Minor Threat, de Embrace puis de Fugazi (entre autres), peuvent être considérés comme le premier groupe straight-edge), mouvement qui sera par la suite une branche significative et très vivace du hardcore.
A peu près au même moment se développent des scènes hardcore à New York, où des groupes comme Agnostic Front, Murphys Law, Antidote, Cro Mags... seront à l'origine de ce qui sera éstampillé "newyork hardcore"(ou NHYC), ainsi qu'à Boston, où des groupes comme SSD, DYS, Gang Green, The Jerry's Kid, The F.U's, The Freeze, Negative FX, Last Rights, et plus tard Slapshot, développeront une scène hardcore importante (fortement activiste et portée sur le straight-edge). Quand à la scène californienne (essentiellement à L.A.), avec des groupes comme Black Flag, The Adolescents, Dead Kennedys, The Circle Jerks, Red Cross (plus tard Redd Kross), ... elle reste tout de même peu développée relativement à celles de la côte est.
Ces scènes là restent les principaux foyers de naissance et de développement du hardcore, bien que d'autres villes américaines ou nord-américaines aient connu quelques groupes hardcore notoires, comme Poison Idea à Portland ou DOA à Vancouver.
Il convient de noter qu'à cette époque, le hardcore n'est encore rien d'autre que du punk fait par des punks, et aussi énormément de skinheads, et que malgré son appellation spécifique et certains changements d'attitudes (naissance du straight-edge, rejet du nihilisme punk, activisme politique pour certains, discours populos et patriotes pour d'autres), les scènes hardcore restent très violentes et en partie en proie aux problèmes de gangs (on ne compte plus les anecdotes de violence des "scenesters" de l'époque, entre les Fag Bashing -chasse aux homosexuels- et les affrontements Boston/NY). A proprement parler, le hardcore n'émerge comme culture "à part entiere" qu'au milieu des 80's, ou enfin celui-ci se démarque dans son ensemble du punk, autant dans l'attitude et ses idées propres que dans son style musical et vestimentaire, tout en conservant des rapports très étroit avec ce dernier.
Aussi, quoi qu'il en soit, dès le départ le hardcore se place dans la continuité du punk et de mouvement skinhead, mélant anticonformisme, rejet de la société (ce qui se traduit dans les textes), se présentant comme le moyen d'expression privilégié d'une jeunesse populaire. Une jeunesse issue pour une bonne part des classes les plus pauvres de l'amérique de la fin des 70's/début 80's (ce qui n'est pas pourtant toujours le cas), jeunesse majoritairement blanche, mais aussi en partie noire et latino. Cependant l'anarchisme et le militantisme d'extrème gauche souvent affiliés à l'esprit DIY (Do It Yourself) dans l'imaginaire des jeunes d'aujourd'hui n'étaient pas nécessairement portés en avant par l'ensemble des groupes constituant les différentes scènes hardcore naissantes, et bien que certains s'en revendiquaient avec plus ou moins de sérieux, beaucoup avaient des discours franchement patriotes, réactionnaires voir même anti communistes, sans pour autant sombrer ni dans le fascisme ni dans le racisme.
Loin d'une vision idyllique et fantasmatique du hardcore originel, ou les kids et les bandes auraient été unis autour de valeurs positives, dépassant le punk et leurs conditions sociales souvent déplorables, pour construire un mouvement engagé ou le DIY et l'unité régneraient en maître, le hardcore apparaît bien plus tôt derechef comme un mouvement pluriel et diversement orienté. Chaque scène développe ses spécificités, qui donneront lieu à des orientations futures totalement différentes. Pendant que la violence gangrènera une partie de certaines scènes, fermant les portes des clubs aux kids, étouffant les scènes locales (notamment à NY), d'autres n'auront de cesse d'intégrer de nouveaux ingrédients musicaux à leur style, développant de nouveaux horizons musicaux qui seront à leur tour diversement intégrés. C'est ainsi que la scène bostonienne s'éloignera vers le métal et le hard rock, tandis qu'à Washington, sous l'impulsion de la constellation de groupes du label Dischord Records, le hardcore punk basique et brutal évoluera vers des styles musicaux plus mélodiques et plus travaillés, donnant naissance au hardcore mélodique (Dag Nasty entre autres)puis plus tard à l'emo-core.
Finalement, les mids 80's voient un essouflement progressif du mouvement hardcore punk né à la fin des 70's, du fait que les "scenesters" vieillissant quittent la scène (souvent trop violente), pour s'insérer socialement (ou finir en prison), ou réorientent leur musique vers des styles plus commerciaux ou plus "matures". Mais déjà une nouvelle génération pointe à l'horizon et laisse préfigurer le retour en force du hardcore et ce plus particulièrement à la fin des 80's. Un hardcore encore plus violent et radical, de plus en plus autonome musicalement relativement au punk rock va alors voir le jour (définissant les styles appellés aujourd'hui hardcore oldschool), spécialement à NY. Le straight-edge lui aussi monte en flèche après s'être éteint à Boston, retrouvant une vivacité particulière à NY, notamment sous l'impulsion de groupes comme Youth of Today, Gorilla Biscuits, Judge, ... jusqu'à devenir une déferlante dont le point culminant sera l'année 1988 (âge d'or du straight-edge américain).
Cette définition est celle du hardcore en tant que genre musical. Pour de nombreux groupes, on peut dire qu'ils perpétuent ce genre depuis plus de vingt ans maintenant. De plus, le DIY (l'appellation anglaise Do-It-Yourself) est bien souvent associée au rock hardcore.
Les étiquettes hardcore et DIY sont bien souvent revendiquées par des groupes aux styles musicaux variés, mais dont l'éthique se trouve à peu près résumée en ces termes :
- Liberté de création - Critique de la société - Aspiration à quelque chose de différent - Respect de l'individu - Refus des discours d'exclusion - Refus du communisme ou du fascisme
Bien qu'existant depuis plus de vingt-cinq ans, les mouvements punk et rock hardcore sont toujours vivaces. Ils utilisent internet comme un espace d'expression et de diffusion, en distribuant à travers le monde des disques et des journaux proposant une musique libre, ainsi qu'une autre manière de voir la vie.
Le hardcore se positionnera également en réaction à l'esprit No future du mouvement punk. Des groupes tels que Youth of Today, Gorilla Biscuits ou Judge, dont les membres venaient du punk et du mouvement skinhead, cherchaient à faire prévaloir des valeurs plus positives, découlant du straight-edge) : amitié, fidélité, unité, jeunisme, défense des animaux, végétarisme, anti-alcool et anti-drogue.
D'autres groupes, parmi lesquels Warzone ou encore Agnostic Front, proche du mouvement skinhead américain, ont adopté un discours pro-américain et ouvertement anti-communiste, sans glisser vers l'extrémisme, ni le fascisme.
Actuellement, bien qu'un autre aspect de la scène hardcore se soit développé avec des groupes aux paroles plus sombres, voire négatives. Peut-être est-ce dû aux influences métal dans cette scène... Certains groupes ont des discours presque opposés à ceux des groupes ayant donné naissance au mouvement. Ils vont jusqu'à prôner la violence gratuite, le nihilisme, l'auto-destruction, l'homophobie et le sexisme. Alors que d'autres s'orientent d'avantage vers un discours d'extrême-gauche.
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